«Heureux qui par un frais automne / Largue son âme comme pomme au vent / Et contemple le soc du soleil / Fendre l’eau bleue de la rivière. Heureux qui extraie de sa chair / L’incandescent clou des poèmes, / Et revêt le blanc vêtement de fête / En attendant que l’hôte frappe....»
«Amico mio, amico mio, / Sono molto molto malato. / Io stesso non so da dove mi venga questo male. / Se sia il vento che sibila / Sul campo vuoto e deserto, / forse, come a settembre al boschetto, / È l’alcool che sgretola il cervello. La mia testa sventola le orecchie, / Come fa un...»
«Allons baise, baise-moi, mords / Jusqu’au sang, jusqu’au cri, / Le ruissellement d’un cœur ardent / Ne souffre pas de froideur. La cruche répandue de joyeux drilles / Ce n’est pas pour nous,car / Comprends tu, petite amie? / Sur terre nous n’avons qu’une vie! Promène ton...»
«A P. Luspekayev / / Mire aquí, Majestad, Señora Separación, / Me siento frío contigo, esa es la revelación. / Carta del querido, / espera, no te lo arranques... / Sin suerte en la muerte, / Tendré suerte en el amor. Mire aquí, Majestad, Sra. Alienación, / ardiente fue tu ab...»