«Les mains se crispent sous le châle vert... / — Pourquoi es-tu si pâle soudain ? / — Parce que d’un désespoir amer / Je l’ai abreuvé sans fin. Comment l’oublierai-je? Chancelant / Il est parti le rictus amer. / Je suis descendue en courant, / J’ai couru à la porte cochÃ...»
«Le soir est clair, large, brillant / Et la fraîcheur d’avril est tendre. / Tu es en retard de dix ans, / Mais tu es là — je suis contente. Assieds-toi là auprès de moi, / Regarde de tes yeux riants, / Regarde ce cahier bleu-roi: / J’y ai mis mes poèmes d’enfant. Pardonne-m...»
«Why pretend to be / Now breeze, now stone, now a bird? / Why smile at me, / In sudden lightning from summer’s sky? Don’t torture me further, and don’t touch me! / Leave me to my prophetic dreams... / A drunken flame reels / Over the dry grey marshes. And the Muse in a ragged shaw...»
«Pourquoi te déguises-tu / En vent, en pierre, en oiseau? / Pourquoi me souris-tu du ciel / Comme un éclair inattendu? Cesse de me tourmenter ! Ne me touche pas! / Laisse-moi à la gravité de mes soucis... / Un feu ivre passe en vacillant / Sur les marais gris desséchés. La muse da...»