«Tu désires savoir pourquoi d’un tel amour, / Poète, nous aimons tous deux notre patrie, / Et pourquoi dans l’exil, bravant la médisance, / Notre cœur serait prêt à perdre tout son sang / Pour sa beauté chérie? / Certes notre printemps est plus tardif, plus bref, / Mais lorsqu...»
«Les nuages pâmés dans la clarté vermeille / Tourbillonnent! Les champs aspirent aux caresses / De la rosée. Au bord de la troisième crête / Disparaît, maintenant pour la dernière fois, / Sans poussière, et tintant, la voiture de poste. / Nulle habitation dans la vaste étendue... ...»
«My torpor’s higher than the hills, / And in the ditch now lies my love, / Its lustre lost, my gaze now spills / Where tears and blood roll from above. My torpor’s higher than the hills, / The earth my labours do not suit… / Oh, gaze is dark, dull gaze it chills, / Oh evil, terrify...»
«When slumber’s depths are fell descending / On darkened city in the night, / When turns the blizzard’s fretful bending / At chime upon the belfries’ height — How scarily the heart then freezes! / How mournful at this very hour, / Fly through the stormy, screaming breezes / The m...»